Comment répondre ?
Voici quelques conseils que nous proposons à celui ou celle qui voudrait participer à un débat au sujet de l’Islam :
. Réunir les arguments solides sur le sujet
. Reformuler la question de manière constructive
. Donner des arguments simples et pointer vers les sources détaillées
. Démasquer les procédés inadaptés
. Confronter l’interlocuteur à son incohérence et son irresponsabilité
. Questionner l’intention de l’interlocuteur
. Déconstruire les informations et les raisonnements erronés
. Manier l’humour avec parcimonie
. Utiliser le système de valeurs de l’interlocuteur
. Attirer l’interlocuteur sur le terrain de l’intelligence et de l’argument fondé
Réunir les arguments solides sur le sujet
L’objectif principal de ce site est de fournir tous les arguments nécessaires à la manifestation de la vérité concernant l’Islam (en tous cas, de notre point de vue, après des années d’étude, de compilation, de réflexion, de vérification des sources…).
Nous avons réparti les arguments en plusieurs catégories (et pour chaque catégorie nous avons proposé une liste de questions fréquentes):
. Argumentaires généraux
. Argumentaires concernant la violence
. Argumentaires concernant les femmes
. Argumentaires concernant les valeurs
. Argumentaires concernant le sens des mots
. Argumentaires concernant l’existence de Dieu
. Argumentaires concernant le Coran parole inchangée de Dieu
. Argumentaires concernant l’altération des écritures saintes (Bible, Evangiles)
Deux conseils subsidiaires :
. Etre patient et prendre le temps de réunir les arguments avant de se lancer dans l’arène !
. Ne pas hésiter à copier des raisonnements de nos différentes sources : c’est libre de droit et c’est fait pour être utile à tous.
Reformuler la question de manière constructive
Il arrive parfois (souvent) que l’interlocuteur s’exprime de manière indirecte (par l’insinuation, l’affirmation de choses fausses, l’insulte, le mensonge, le crachat, etc.).
Il s’agit pour le débatteur « éthique » d’extraire la question constructive qui se cache derrière l’expression « maladroite ». C’est une forme d’alchimie !
Exemple :
Face à ce genre d’intervention : « de toutes façons l’islam c’est la soumission et vous n’avez aucun libre arbitre dans cette religion ! », une reformulation possible peut être « vous vous demandez probablement quelle est la signification précise du mot islam et qu’elle est la position de l’islam par rapport à la liberté de conscience et au libre arbitre, eh bien voici des éléments de réponse à ces questions… » et le tour est joué, on se retrouve dans un débat constructif.
Donner des arguments simples et pointer vers les sources détaillées pour ceux qui veulent aller plus loin
Dans les chapitres concernant les arguments, nous proposons un contenu pour chaque question.
Ce contenu est détaillé et il revient au lecteur ou la lectrice d’en extraire un sous-ensemble d’arguments qui convienne à la question précise à laquelle il ou elle veut répondre.
Le débateur peut aussi présenter ces arguments avec son style propre et ses mots et renvoyer vers la source concernée pour proposer d’aller plus dans le détail pour ceux qui le souhaitent.
Confronter l’interlocuteur à son incohérence et son irresponsabilité
Face à quelqu’un qui diffuse des mensonges pour attiser la méfiance et la haine, le confronter aux conséquences de son agissement de la sorte. Voici un exemple de réponse qui recadre bien (nous l’avons lue dans un échange) : « l’ignorance et la peur de l’autre qui produisent généralement de la haine.. vous savez, cette fameuse haine qui débouche à plus ou moins court terme à la violence -de tous types- envers cet autre, et donc au retour de violence sur vous et sur vos enfants -si j'en crois les leçons de l'histoire, même récente-.. Heureusement que vous n'êtes pas dans ce trip qui ferait de vous un complice des souffrances de vos enfants -en quelque sorte un complice de crime contre l'humanité de vos enfants, et donc l'Humanité tout court-... et qui pourrait aussi vous faire condamner pour mise en danger -délibérée ?- de la vie d'autrui -entre autres, de vos enfants-. Heureusement que vous voulez par dessus tout protéger vos enfants, aujourd'hui et demain... et je partage ce noble objectif qui est le coeur de notre humanité. Soyons cohérents. »
Questionner l’intention de l’interlocuteur
Questionner simplement un interlocuteur sur ce qu’il cherche à démontrer peut parfois remettre l’échange dans un cadre plus constructif.
Déconstruire les informations et les raisonnements erronés
Quelques exemples vus lors de débats sur des forums :
« Donc (par A+B+C+…) cette affirmation n’est ni solide ni sérieuse.. Voire même dangereuse car elle a pour résultat (et peut-être même pour objectif ?) celui d’empêcher les gens de réfléchir et d’avoir l’esprit critique vis-à-vis des écritures (ce qui est l’occupation la plus saine pour ceux qui aiment Dieu et sont vigilants vis-à-vis des contrefaçons).. »
« Votre affirmation n’est pas nouvelle. Tous ceux qui ont contribué (directement ou indirectement) à la falsification des textes, ont utilisé ce chantage intellectuel. »
« Votre affirmation revient à dire que si le mal triomphe aujourd’hui c’est que Dieu est impuissant (encore une fois on imputerait les fautes et les erreurs des Hommes à Dieu !!) : soyons sérieux.. »
« Votre affirmation reviendrait à dire que si Adam a succombé à la tentation c’est que Dieu n’a pas été capable de le protéger de Satan. Cela revient à accuser Dieu d’être faible : soyons sérieux… »
Manier l’humour avec parcimonie
Attention à l’humour qui humilie l’interlocuteur. Avec le recul, il en sort peu de choses positives.
Voici un exemple d’un musulman répondant à un chrétien agressif dans ses attaques :
« Ce que j'aime dans votre commentaire c'est qu'il ne comporte que de l'amour et de l'ouverture.. Je sens bien que vous êtes empreint des valeurs chrétiennes où l’amour trône comme le seul vrai commandement évangélique. L'amour et l'ouverture dont vous faites preuve témoignent de votre développement avancé, votre équilibre et votre estime stable de vous-même.. Certainement liés à une réussite dans la vie et un optimisme constructif d'un avenir meilleur.. »
Le débatteur musulman en question s’est « fait plaisir » et a dû récolter quelques likes d’avoir « calmé, quiché » la personne agressive en face. Néanmoins, humilier son interlocuteur ne fait pas partie de l’éthique du musulman, même si l’interlocuteur « le mériterait » (pour emprunter ce trait d’humour à un humoriste français connu).
Ridiculiser son interlocuteur même sous le couvert de l’humour : Non !
Voici un autre extrait d’un échange dans un débat de société (hors religion) qui a conduit à l’arrêt du débat et au déchaînement de l’agressivité de l’interlocuteur (pourtant, à première vue, c’est de l’humour acide) :
« L’élégante plume du ridicule troll vient nous procurer un profond éclat de rire nous mettant de bonne humeur ! Quelle profondeur dialectique et puissance argumentaire chez le pitoyable ignare, on touche ici aux abîmes intersidéraux de la non-pensée. On peut, dans cette splendide tirade, admirer la puissante intelligence qui sommeille dans l’esprit enténébré de l’idiot absolu. Mais le plus drôle, au sein de ce pitoyable dialogue que nous offre égrillard le sombre analphabète, ce sont les incroyables erreurs grammaticales dignes d’un élève de maternelle :
Là, pour le coup, on touche au sublime sur le plan de la crasse ignorance ! Aurions-nous pu doucement sourire devant la plate réflexion si chèrement acquise après des heures d’inutile transpiration neuronale, mais cette fois-ci c’est l’éclat de rire devant la démonstration de l’éclatante crasse ignorance. Effectivement l’abruti profond, vous l’avez bien dit et proclamé dans un touchant aveu, vous êtes : « aussi con que cela ! » »
Cela peut nous faire rire, mais réflexion faite, les conséquences pour le débat ont été très négatives.
Utiliser le système de valeurs de l’interlocuteur
Face à un interlocuteur qui défend le christianisme, mais qui exprime une haine envers les musulmans (en général), nous avons lu cette réponse : « Rappelons-nous l’exigence la plus "terrible" de Jésus, qui est celle de l’amour des ennemis : "Vous avez entendu qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Eh bien ! Moi je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour vos persécuteurs, afin de devenir fils de votre Père qui est aux cieux" (Matthieu 5, 43-45)... C'est difficile certes, mais c'est ce qui différencie l'Homme des autres règnes, non ? Et cette approche a une chance d'aboutir à la paix, à l'harmonie et à la sécurité dans notre société.. Qu’en pensez-vous ? »
A méditer !
Attirer l’interlocuteur sur le terrain de l’intelligence et de l’argument fondé
Certains se rappellent sans doute de cette parole d’une femme politique française : "Je refuse qu'on me force à renoncer à l'intelligence.".
Dans un débat, chacun cherche à attirer son interlocuteur sur son propre terrain (sur le fond et sur la forme).
Si vous croisez un interlocuteur qui tente de vous attirer sur son terrain nauséabond (haine, vulgarité, mensonge, provocation, surdité, racisme, rejet de l'autre..), n’y cédez pas.
Entraînez-le plutôt sur votre terrain plus élevé : celui de l'intelligence, de l'argument, de la preuve et du respect.
Se préparer donc pour ne pas être contaminé et ne pas réagir à chaud face à l’agression.
L’attirer vers votre terrain (de l’intelligence et de l’argument) se fait parfois en donnant un lien vers une source fiable et détaillée pour approfondir le sujet, après avoir donné un argumentaire cohérent et simple.
. Réunir les arguments solides sur le sujet
. Reformuler la question de manière constructive
. Donner des arguments simples et pointer vers les sources détaillées
. Démasquer les procédés inadaptés
. Confronter l’interlocuteur à son incohérence et son irresponsabilité
. Questionner l’intention de l’interlocuteur
. Déconstruire les informations et les raisonnements erronés
. Manier l’humour avec parcimonie
. Utiliser le système de valeurs de l’interlocuteur
. Attirer l’interlocuteur sur le terrain de l’intelligence et de l’argument fondé
Réunir les arguments solides sur le sujet
L’objectif principal de ce site est de fournir tous les arguments nécessaires à la manifestation de la vérité concernant l’Islam (en tous cas, de notre point de vue, après des années d’étude, de compilation, de réflexion, de vérification des sources…).
Nous avons réparti les arguments en plusieurs catégories (et pour chaque catégorie nous avons proposé une liste de questions fréquentes):
. Argumentaires généraux
. Argumentaires concernant la violence
. Argumentaires concernant les femmes
. Argumentaires concernant les valeurs
. Argumentaires concernant le sens des mots
. Argumentaires concernant l’existence de Dieu
. Argumentaires concernant le Coran parole inchangée de Dieu
. Argumentaires concernant l’altération des écritures saintes (Bible, Evangiles)
Deux conseils subsidiaires :
. Etre patient et prendre le temps de réunir les arguments avant de se lancer dans l’arène !
. Ne pas hésiter à copier des raisonnements de nos différentes sources : c’est libre de droit et c’est fait pour être utile à tous.
Reformuler la question de manière constructive
Il arrive parfois (souvent) que l’interlocuteur s’exprime de manière indirecte (par l’insinuation, l’affirmation de choses fausses, l’insulte, le mensonge, le crachat, etc.).
Il s’agit pour le débatteur « éthique » d’extraire la question constructive qui se cache derrière l’expression « maladroite ». C’est une forme d’alchimie !
Exemple :
Face à ce genre d’intervention : « de toutes façons l’islam c’est la soumission et vous n’avez aucun libre arbitre dans cette religion ! », une reformulation possible peut être « vous vous demandez probablement quelle est la signification précise du mot islam et qu’elle est la position de l’islam par rapport à la liberté de conscience et au libre arbitre, eh bien voici des éléments de réponse à ces questions… » et le tour est joué, on se retrouve dans un débat constructif.
Donner des arguments simples et pointer vers les sources détaillées pour ceux qui veulent aller plus loin
Dans les chapitres concernant les arguments, nous proposons un contenu pour chaque question.
Ce contenu est détaillé et il revient au lecteur ou la lectrice d’en extraire un sous-ensemble d’arguments qui convienne à la question précise à laquelle il ou elle veut répondre.
Le débateur peut aussi présenter ces arguments avec son style propre et ses mots et renvoyer vers la source concernée pour proposer d’aller plus dans le détail pour ceux qui le souhaitent.
Confronter l’interlocuteur à son incohérence et son irresponsabilité
Face à quelqu’un qui diffuse des mensonges pour attiser la méfiance et la haine, le confronter aux conséquences de son agissement de la sorte. Voici un exemple de réponse qui recadre bien (nous l’avons lue dans un échange) : « l’ignorance et la peur de l’autre qui produisent généralement de la haine.. vous savez, cette fameuse haine qui débouche à plus ou moins court terme à la violence -de tous types- envers cet autre, et donc au retour de violence sur vous et sur vos enfants -si j'en crois les leçons de l'histoire, même récente-.. Heureusement que vous n'êtes pas dans ce trip qui ferait de vous un complice des souffrances de vos enfants -en quelque sorte un complice de crime contre l'humanité de vos enfants, et donc l'Humanité tout court-... et qui pourrait aussi vous faire condamner pour mise en danger -délibérée ?- de la vie d'autrui -entre autres, de vos enfants-. Heureusement que vous voulez par dessus tout protéger vos enfants, aujourd'hui et demain... et je partage ce noble objectif qui est le coeur de notre humanité. Soyons cohérents. »
Questionner l’intention de l’interlocuteur
Questionner simplement un interlocuteur sur ce qu’il cherche à démontrer peut parfois remettre l’échange dans un cadre plus constructif.
Déconstruire les informations et les raisonnements erronés
Quelques exemples vus lors de débats sur des forums :
« Donc (par A+B+C+…) cette affirmation n’est ni solide ni sérieuse.. Voire même dangereuse car elle a pour résultat (et peut-être même pour objectif ?) celui d’empêcher les gens de réfléchir et d’avoir l’esprit critique vis-à-vis des écritures (ce qui est l’occupation la plus saine pour ceux qui aiment Dieu et sont vigilants vis-à-vis des contrefaçons).. »
« Votre affirmation n’est pas nouvelle. Tous ceux qui ont contribué (directement ou indirectement) à la falsification des textes, ont utilisé ce chantage intellectuel. »
« Votre affirmation revient à dire que si le mal triomphe aujourd’hui c’est que Dieu est impuissant (encore une fois on imputerait les fautes et les erreurs des Hommes à Dieu !!) : soyons sérieux.. »
« Votre affirmation reviendrait à dire que si Adam a succombé à la tentation c’est que Dieu n’a pas été capable de le protéger de Satan. Cela revient à accuser Dieu d’être faible : soyons sérieux… »
Manier l’humour avec parcimonie
Attention à l’humour qui humilie l’interlocuteur. Avec le recul, il en sort peu de choses positives.
Voici un exemple d’un musulman répondant à un chrétien agressif dans ses attaques :
« Ce que j'aime dans votre commentaire c'est qu'il ne comporte que de l'amour et de l'ouverture.. Je sens bien que vous êtes empreint des valeurs chrétiennes où l’amour trône comme le seul vrai commandement évangélique. L'amour et l'ouverture dont vous faites preuve témoignent de votre développement avancé, votre équilibre et votre estime stable de vous-même.. Certainement liés à une réussite dans la vie et un optimisme constructif d'un avenir meilleur.. »
Le débatteur musulman en question s’est « fait plaisir » et a dû récolter quelques likes d’avoir « calmé, quiché » la personne agressive en face. Néanmoins, humilier son interlocuteur ne fait pas partie de l’éthique du musulman, même si l’interlocuteur « le mériterait » (pour emprunter ce trait d’humour à un humoriste français connu).
Ridiculiser son interlocuteur même sous le couvert de l’humour : Non !
Voici un autre extrait d’un échange dans un débat de société (hors religion) qui a conduit à l’arrêt du débat et au déchaînement de l’agressivité de l’interlocuteur (pourtant, à première vue, c’est de l’humour acide) :
« L’élégante plume du ridicule troll vient nous procurer un profond éclat de rire nous mettant de bonne humeur ! Quelle profondeur dialectique et puissance argumentaire chez le pitoyable ignare, on touche ici aux abîmes intersidéraux de la non-pensée. On peut, dans cette splendide tirade, admirer la puissante intelligence qui sommeille dans l’esprit enténébré de l’idiot absolu. Mais le plus drôle, au sein de ce pitoyable dialogue que nous offre égrillard le sombre analphabète, ce sont les incroyables erreurs grammaticales dignes d’un élève de maternelle :
Là, pour le coup, on touche au sublime sur le plan de la crasse ignorance ! Aurions-nous pu doucement sourire devant la plate réflexion si chèrement acquise après des heures d’inutile transpiration neuronale, mais cette fois-ci c’est l’éclat de rire devant la démonstration de l’éclatante crasse ignorance. Effectivement l’abruti profond, vous l’avez bien dit et proclamé dans un touchant aveu, vous êtes : « aussi con que cela ! » »
Cela peut nous faire rire, mais réflexion faite, les conséquences pour le débat ont été très négatives.
Utiliser le système de valeurs de l’interlocuteur
Face à un interlocuteur qui défend le christianisme, mais qui exprime une haine envers les musulmans (en général), nous avons lu cette réponse : « Rappelons-nous l’exigence la plus "terrible" de Jésus, qui est celle de l’amour des ennemis : "Vous avez entendu qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Eh bien ! Moi je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour vos persécuteurs, afin de devenir fils de votre Père qui est aux cieux" (Matthieu 5, 43-45)... C'est difficile certes, mais c'est ce qui différencie l'Homme des autres règnes, non ? Et cette approche a une chance d'aboutir à la paix, à l'harmonie et à la sécurité dans notre société.. Qu’en pensez-vous ? »
A méditer !
Attirer l’interlocuteur sur le terrain de l’intelligence et de l’argument fondé
Certains se rappellent sans doute de cette parole d’une femme politique française : "Je refuse qu'on me force à renoncer à l'intelligence.".
Dans un débat, chacun cherche à attirer son interlocuteur sur son propre terrain (sur le fond et sur la forme).
Si vous croisez un interlocuteur qui tente de vous attirer sur son terrain nauséabond (haine, vulgarité, mensonge, provocation, surdité, racisme, rejet de l'autre..), n’y cédez pas.
Entraînez-le plutôt sur votre terrain plus élevé : celui de l'intelligence, de l'argument, de la preuve et du respect.
Se préparer donc pour ne pas être contaminé et ne pas réagir à chaud face à l’agression.
L’attirer vers votre terrain (de l’intelligence et de l’argument) se fait parfois en donnant un lien vers une source fiable et détaillée pour approfondir le sujet, après avoir donné un argumentaire cohérent et simple.